• L'accordéon synthétiseur :

    Qu'est-ce que s'est ? C'est un accordéon qui est vide à l'intérieur sauf de l'électronique. Relié à un expendeur (une boite de sons exterieures), ça lui permet d'émettre des sons d'autres instruments comme des trompettes, un saxophone, un xylophone,.....

    A quoi ça sert ? : A la société des Accordéonistes Aixois, nous en avons 3. Cela nous permet d'interprèter des morceaux que l'on ne pourrai pas jouer avec un accordéon standard, ou alors sans reliefs musical.

    Sur la photo, vous voyez notre pupitre synthétiseur : au premier plan Graham qui fait le synthé solo, derrière à gauche Maryline qui fait le synthé accompagnement, et derrière caché Anthony qui fait le synthé basse. Ces instruments nous permettent de mettre à notre répertoire des morceaux comme : Meydley Supertramp, Medley Beattles, Le Thème de James Bond,.....


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  • L'accordina est comme l'accordéon un instrument à anche libre. Nous l'utilisons lors de nos concert, je vous propose  de faire plus connaissance avec lui :

     

    Ça bouge dans le monde de l'anche libre. Depuis quelques années, l'accordina fait parler de lui. Longtemps passé inaperçu, ignoré des accordéonistes, inconnu du grand public, cet hybride entre accordéon et harmonica est né de l'imagination d'André Borel, vers la fin des années 1930. Aujourd'hui, il est à nouveau fabriqué et fait l'objet d'un curieux engouement, allant à l'encontre de la fatalité qui a toujours entouré son histoire.
     

    trange   pont
    jeté entre l'ac-
    cordéon et les
    instruments à vent,
    l'accordina  apparaît aujourd'hui  à   cer-
    tains (peut-être selon
    un  effet  de  mode)
    comme  un    instru-
    ment mythique créé
    pour  le jazz. L'his-
    toire de ce petit "ac-
    cordéon   à  bouche"
    -bien   que   difficile
    à   reconstituer  —
    nous prouve pour-
    tant   le    contraire. Imaginé  par   André Borel dans
    les années 1930,  l'accordina  est breveté  en  décembre
    1943. Il  emprunte  à l'accordéon  ses   anches libres
    et son clavier chromatique (44 notes, 3 octaves et
    demi). Il tient de l'harmonica le souffle produit par
    le musicien et le principe de ses deux volets latéraux qui permettent de moduler le son, comme le fait l'harmoniciste avec ses mains. Il faut attendre les années 1 950 pour le voir fabriqué, au moment où Borel crée sa société commerciale (dissoute en 1954). En 1950, il donne un concert radio- diffusé d'accordina, avec sans doute un prototype ou l'un des tous premiers modèles ! Pour commercialiser
    son instrument, Borel privilégie un partenaire de
    poids : les établissements Beuscher, qui le suivront
    jusqu'au milieu des années 1970, période où cesse la
    fabrication.

    Article trouvé sur http://www.accordinas.com/index.php?lg=0&rbq=3

     


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  • Serge Gros est un réparateur d'accordéon. C'est lui qui répare les instruments des musiciens de notre société. Quel beau métier : non seulement il est musicien, mais on peut dire aussi qu'il "fabrique" la musique. En tout les cas c'est un metier où il faut être méticuleux.

    Ils ne sont plus nombreux ces artisants de la musique, alors je voulais leur rendre hommage à travers cet ami de la société Serge Gros. (rendez-vous à la rubrique photos pour une gallerie concernant son travail)

    Si vous cherchez un réparateur d'accordéon, dites le nous on vous transmettra avec plaisir ses coordonnées.


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  • L'accordéon est un instrument de musique et plus particulièrement un instrument à vent, de la famille des instruments à anche libre. Il est composé d'un soufflet permettant le déplacement de l'air et de touches ouvrant des clapets, ce qui à pour effet de laisser passer l'air, donc de faire vibrer une anche libre métallique qui produit le son lui-même.

    Historique :

    Le sheng, ou orgue à bouche, apparu en 3000 avant J.C., est considéré comme le plus vieil ancêtre de l'accordéon : il est le premier instrument à anche libre.

    Le 6 mai 1829, l'Arménien de Vienne, Cyrill Demian dépose le brevet de l'accordéon avec ses fils Carl et Guido.

    La même année, le 19 juin, à Londres, Charles Wheatstone dépose lui aussi un brevet pour un "concertina".

    En 1863, Paolo Soprani fonde la première industrie de l'accordéon à Castelfidardo qui est considéré comme le berceau mondial de l'accordéon.

    L'accordéon peut réaliser le rythme aussi bien que la mélodie et l'harmonie. Il équivaut donc à un orchestre, ce qui lui a valu cette place importante dans les bals populaires français. Pourtant, les puristes n'aiment pas cet instrument aux accords tout faits et à la sonorité désaccordée d'où, dès les années trente, l'invention des basses chromatiques (clavier mélodique de main gauche) et une registration variée aux sonorités de plus en plus soignées. Après la guerre, l'accordéon commence à s'essouffler malgré des auteurs comme Jacques Brel qui l'utilisent dans leurs chansons. Si l'instrument est alors considéré comme ringard, cela est dû en partie aux maestros du bal-musette. L'accordéon, vers les années 80, reprend du poil de la bête. Plusieurs facteurs permettent ce retour en force. D'abord, l'attrait des musiques traditionnelles et folkloriques qui utilisent l'accordéon (musique bretonne, slave, musique cajun...) ; ensuite, l'utilisation par des chanteurs français comme Renaud qui le remettent au goût du jour ; l'apparition d'accordéonistes majeurs, se détournant du musette, comme Marc Perrone ou Richard Galliano ; et, dernier point, son utilisation par des groupes de la scène alternative comme la Mano Negra ou Les Négresses Vertes. Il serait également restrictif de passer sous silence l'émergence de l'accordéon dans la création contemporaine d'avant-garde et ceci dès les années 80, grâce aux prodigieux progrès de la facture instrumentale et de l'évolution de l'état d'esprit du monde dit "classique". On n'omettra pas de citer Pascal Contet, accordéoniste français et concertiste international qui contribue activement à développer le répertoire contemporain avec des compositeurs comme Bernard Cavanna, Vinko Globokar, Jacques Rebotier, Jean-Pierre Drouet, Bruno Giner, Jean Françaix, etc.

    Aujourd'hui, l'accordéon est largement utilisé aussi bien par des artistes de variétés (Patrick Bruel, Bénabar...) que par des groupes « alternatifs » (Les Ogres de Barback, Les Têtes Raides, Les Taizeurs de bruit, Les Hurlements d'Léo) ou des musiciens de jazz tel que(Richard Galliano)ou (Marcel Loeffler, René Sopa, David Venitucci, Daniel Mille). En 2005, Serge Lama a effectué une tournée avec un seul musicien, l'accordéoniste Sergio Tomassi.

    L'accordéon est utilisé aussi bien dans la musique folklorique que dans la musique populaire, le jazz ou la musique classique.

    lien pour voir d'autre blog :http://www.clickoblog.com/adb42259979be0b49c61b12159081fec3


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