• La Java

    La java est une danse populaire d'origine parisienne appartenant au répertoire du musette, née au début du XXe siècle. La java est une valse rapide qui se danse à petits pas, de manière très rapprochée, avec un mouvement très typique du bassin. Les rythmes de croche pointée-double et les triolets sont caractéristiques de cette danse dont les temps, notamment le premier, sont très marqués. Si l'étymologie est inconnue, certains pensent que la java aurait pour origine une mazurka italienne.



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  • Les cours d'accordéon sont assurés par notre directeur et chef d'orchestre Jean-jacques Petit.

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  •  Bruno Maurice

    (en masterclass :

    ·         Académie des Arcs (Savoie), du 17 au 27 juillet

    ·        Académie de Guérande (Bretagne), du 11 au 25 août)

    photo par Hervé Leteneur, 8 octobre 2006

    Tout petit déjà…
    A l’âge de six ans, attiré par le pouvoir communicatif de la musique, il choisit l’accordéon.
    Un jour de ses treize ans, subjugué par un récital de Frédéric Guérouet, il décide d'aller le rencontrer à Paris. Fasciné par la culture soviétique du
    bayan (accordéon russe) riche par sa technique et sa littérature musicale, il séjourne à Kiev (Ukraine) régulièrement pendant 3 ans, où il accèdera au savoir faire de l’un des plus grands maître du bayan à l’Académie Tchaïkovski : Vladimir Vladimirévitch Besfamilnov.

    Concours internationaux, récitals, enregistrements, déplacements à Kiev… mais aussi cours d’éducation musicale qu’il donne en collège pendant huit années le mettent en scène face à un public exigeant. « C’est là que j’ai appris à gérer un public ».
    Fasciné par le « langage musique », il ne cesse de consacrer sa vie à la recherche technique de l’expression.

    L’Accordéon…
    Une opportunité formidable va s'offrir à Bruno Maurice: Acquérir l'Instrument qui lui permettra de restituer l'univers musical comme il l'entend. Le maître ukrainien Besfamilnov lui propose son propre instrument, l’« Appassionata » : Véritable objet mythique, fruit d’un travail de deux années de collaboration de Besfamilnov et du facteur d’accordéons Vassili Koeltchin, cet instrument de conception unique résultant d’innovations mécaniques et acoustiques, offre une richesse inouïe de couleurs et de nuances. Un honneur autant qu’un défi à relever, car il s’agit pour Bruno, alors âgé de 27 ans, de réapprendre totalement la technique digitale de l’accordéon : Les claviers des bayans russes et occidentaux sont inversés. Mais, comment résister à la passion de jouer sur l'« Appassionata » ? Cet accordéon répond instantanément au moindre geste et à la moindre intention du musicien. Conscient de la difficulté de la tâche, Bruno avait trouvé là l’Instrument, celui qui lui permettrait de faire entendre sa « Voix ».

    Aujourd’hui…
    Aujourd’hui professeur d’accordéon au Conservatoire National de Région de Bordeaux, Bruno Maurice est régulièrement invité pour des masterclass en Europe : stage international de Kragujevac (Serbie), Académie internationale des Pays de Loire, Académie internationale des Arcs. Perçu sur le plan international comme un interprète phare du monde actuel de l’accordéon, il trouve sa place dans des orchestres symphoniques (Orchestre National des Pays de la Loire, Orchestre symphonique de la Garde Républicaine, « Symphonistes d’Aquitaine », orchestres des CNR de Bordeaux, Toulouse) , mais aussi auprès des Chœurs de l’Armée Française.
    Dialoguant avec l’orgue liturgique de François Henri Houbart à l’église de la Madeleine à Paris, il accompagne aussi les voix : Présent dans dans un touchant « Hommage à Barbara » chanté par Dominique Lusinchi, il suit le ténor Ukrainien Yvan Netchiporko (soliste des chœurs de l’Armée Rouge) dans un répertoire de romances slaves, les voix de la Québécoise Hélène Guillemette (lauréate du concours 2002 « Voix Nouvelles » et « Reine Elisabeth » 2004), tout récemment il soutient la soprano Isa Lagarde sur des lieder de F. Schubert en trio accordéon, violon et violoncelle. Depuis 2002, on peut l’entendre dans l’improvisation et le free jazz avec ses partenaires Etienne Rolin (saxophones, cor de basset), Kent Carter (contrebasse) et François Rossé (piano). Présent dans les plus hautes sphères de la musique d’aujourd’hui, il collabore avec les acteurs de la musique contemporaine : Les compositeurs Bernard Cavanna, Jean-Yves Bosseur, François Rossé, Etienne Rolin, José Luis Campana, les ensembles de création contemporaine Ars Nova, 2 E 2 M, Arcema, Proxima Centauri, … le 13 février 2005 (Cabaret Sauvage, Paris), avec les musiciens de l'ensemble 2e2m il fait la création mondiale du Trio n°2 pour accordéon, violon et violoncelle du compositeur Bernard Cavanna.

    En récital
    Bruno Maurice est aussi l’un des rares accordéonistes à se produire en soliste. En récital, Bruno Maurice joue ses propres œuvres, improvise, revisite J.S. Bach, W.A. Mozart, T. Albinoni, G.F. Haendel, E. Granados, M. De Falla, I. Albéniz, et interprète le répertoire original de V. Semionov, K. Miaskov, B. Cavanna, L. Berio, … .
    Sensible tant par la sincérité de l’artiste que par la modernité de la performance, le public peut retrouver là ses racines, mais aussi celles d’un instrument profondément populaire auquel Bruno Maurice donne une véritable renaissance.

    Vu sur : http://appassionata.free.fr/


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